Nos missions

L’actualité récente nous le rappelle : l’intolérance et l’ignorance trouvent dans les réseaux sociaux de puissantes caisses de résonance. Jusqu’à parfois armer la main d’un terroriste, comme celle de l’assassin du professeur Samuel Paty. 

Depuis 2015, en complément de l’action publique, la Fondation de France se mobilise face aux actes et aux menaces terroristes. 

Grâce à l’appui de ses donateurs, la Fondation de France s’est engagée dès le mois d’août 2020 à soutenir les victimes de la double explosion du Port de Beyrouth. 

Comment empêcher les plus jeunes de tomber dans le piège du terrorisme et de la radicalisation ? Depuis cinq ans, la Fondation de France accompagne des projets aux contours très variés. 

Samuel Paty est mort, décapité, parce qu’il enseignait la liberté d’expression à ses élèves. Nous exprimons notre profonde tristesse et nos condoléances à sa famille et assurons la communauté éducative de notre soutien.

En août dernier, Élisabeth Longuenesse est en vacances, déconnectée de l'actualité. Elle découvre tardivement un message de son fils, physicien de 40 ans qui œuvre dans les énergies renouvelables à Beyrouth.

La Fondation de France a décidé d’intensifier son aide auprès des personnes qui sont les premières touchées par la crise sanitaire, sociale et économique.

Dès le début de la crise, en mai 2020, la Fondation de France a participé au DSESS, le dispositif de secours pour l’économie sociale et solidaire. Résultat : près de 800 associations ont pu bénéficier d’un accompagnement et d’une aide d’urgence, simple et rapide.

Six mois après la double explosion qui a frappé Beyrouth, la Fondation de France a collecté 3 millions d'euros grâce à la générosité de nombreux donateurs et fondations abritées. Au total, plus de 30 actions ont d'ores et déjà été soutenues sur le terrain. 

Le comité d'experts bénévoles Solidarité Liban se réunit en fonction de l'évolution de la situation et des besoins. Il décide des nouveaux projets à financer.