Se préparer et répondre aux crises et catastrophes
Depuis plus de 50 ans, la Fondation de France soutient des associations qui mettent en œuvre des actions de prévention face à des défis majeurs : réduire la vulnérabilité des populations les plus exposées aux risques climatiques, notamment les plus fragiles, agir contre la dégradation de l’environnement, promouvoir des pratiques agricoles et de consommation incluant les populations en situation de précarité, améliorer l’habitat et les espaces de vie inadaptés face aux évolutions du climat, ...
Initié en 2023, le collectif Crises et Catastrophes soutient des initiatives pour répondre à 3 objectifs prioritaires :
- Renforcer les capacités des acteurs locaux en matière de prévention, de préparation et de réponse aux crises. La Fondation de France cible en priorité les zones les plus exposées aux catastrophes naturelles et s’appuie sur ses six fondations régionales et un réseau de bénévoles pour une réponse adaptée aux enjeux locaux.
- Protéger les populations, en menant des actions pour renforcer la sécurité alimentaire, pour adapter l’habitat aux conséquences du changement climatique, et pour améliorer la prise en charge de la santé mentale en cas de catastrophe, en préparant les professionnels à ces enjeux.
- Protéger les écosystèmes pour en faire une barrière naturelle contre les risques climatiques, en soutenant des associations qui œuvrent pour conserver des écosystèmes fonctionnels indispensables au maintien des conditions de vie des populations.
Agir avec le collectif Crises et catastrophes
Le collectif d’action Crises et catastrophes a pour ambition de réunir des représentants de fondations abritées, des acteurs associatifs, des universitaires et des personnes concernées.
En 2024, son comité d’orientation stratégique compte déjà 6 membres, experts sur les sujets relatifs à la préparation et à la prévention des crises, notamment dans les domaines de l’humanitaire, de l’habitat, de la santé mentale, des littoraux et de l’environnement. Le rôle de ce comité est de définir les priorités et grands axes d’intervention du collectif et de voter les projets stratégiques et transversaux. Des comités opérationnels prennent ensuite le relais pour travailler sur des enjeux spécifiques, comme les écosystèmes résilients.