Face à l’urgence des enjeux environnementaux et sociaux qui marquent notre siècle et à la nécessité d’agir concrètement et rapidement, GRDF est convaincu que les dynamiques collectives, ancrées dans les territoires, peuvent permettre de faire émerger de nouveaux modèles et moteurs de développement soutenables et inclusifs.

La Fondation GRDF a pour objet de soutenir et d’accompagner des initiatives de développement économique et social d’intérêt général, en prise avec les enjeux, les besoins et les fragilités des territoires afin de faire progresser l’inclusion et le développement durable à travers quatre domaines d’action :

• l’entrepreneuriat social ;
• l’insertion sociale et professionnelle ;
• les synergies entre les territoires ruraux et les territoires urbains ;
• la transition écologique.

En cohérence avec la mission de service public de l’entreprise, ses valeurs de responsabilité, de professionnalisme et d’ouverture, la Fondation GRDF s’inscrit dans la continuité des engagements de GRDF en tant qu’acteur de proximité et partenaire des territoires.

La Fondation GRDF est aussi la fondation des 11 457 collaborateurs de l’entreprise. Elle a vocation à mettre en valeur leur sens de l’engagement sur les territoires au quotidien et de faciliter leur capacité de mobilisation au service de l’intérêt général.

La Fondation GRDF fonctionnera à partir du second trimestre 2020.

L'équipe de la fondation

Frédérique Le Monnier, déléguée générale - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Murielle Chuniaud, responsable de projets - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Laure Devouassoud, chargée de projets - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Permettre à de jeunes Libanais de bénéficier d'un soutien

Une fondation créée par Michel Ghazal pour permettre à de jeunes Libanais de bénéficier d'un soutien semblable à celui qui lui a permis de réussir.

Michel Ghazal est arrivé en France grâce à une bourse du gouvernement français. Après avoir mené une carrière brillante dans le domaine de la gestion de conflit et de la négociation, il a souhaité que sa réussite bénéficie aux jeunes

Libanais et a pour cela créé la fondation Ghazal, sous l'égide de la Fondation de France.

L'éducation et la paix, deux enjeux fondamentaux pour l'avenir du Liban

Afin de donner une chance à des lycéens et étudiants libanais brillants mais rencontrant des difficultés matérielles ou financières, la fondation Ghazal verse chaque année des bourses d'études, en partenariat avec des établissements locaux. Un soutien nécessaire dans un pays où les inégalités sociales et économiques sont très fortes et freinent l'éducation de nombreux jeunes.

Par ailleurs, la fondation Ghazal soutient la recherche dans le domaine de la résolution de conflits, de la négociation et de la médiation.

Enfin, elle décerne une fois par an le Prix de la Paix au Liban à une association ou une ONG agissant sur le terrain pour faciliter la coexistence entre les communautés.

Un prix scientifique rendant hommage à l’un des pères de la micropaléontologie

Georges Deflandre (1897-1973) fut d’abord un naturaliste passionné de botanique. Dans les années 1930, il oriente ses travaux dans une direction nouvelle : la micropaléontologie, ou l’étude des microfossiles. Il enseigna cette discipline au Museum National d’Histoire Naturelle, ainsi qu’au sein du Laboratoire de Micropaléontologie de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes à Paris, laboratoire dont il deviendra ensuite le Directeur.

En 1987, sa veuve, Marte Deflandre-Rigaud, qui fut l’une de ses élèves et collaboratrices, légua à la Fondation de France une partie de ses biens afin d’établir une fondation qui lui rende hommage et perpétue sa passion pour les sciences et la connaissance du monde qui nous entoure.

La Fondation Georges Deflandre récompense des découvertes scientifiques dans le champ des sciences exactes, comme l’astronomie, la médecine, la physique ou la chimie.

Attribué à de jeunes chercheurs en activité (dont la thèse de doctorat a été soutenue dans les huit années précédentes), ce prix met en avant à la fois la valeur scientifique de la découverte, son caractère novateur, et les applications qu’elle rend possibles pour le développement durable et l’amélioration des conditions de vie des hommes.

20 ans au service des orphelins militaires

Un geste généreux, qui trouve son origine dans une enfance marquée par le deuil. En 1995, Geneviève Strudel s’adresse à la Fondation de France pour créer sous son égide la Fondation Geneviève Strudel. Par ce geste, cette femme ayant mené une brillante carrière de chirurgien dentiste choisissait de consacrer une partie de son patrimoine à une cause lui tenant à cœur depuis l’enfance. Marquée par la perte de son père, colonel tué à la tête de son régiment pendant la Première Guerre Mondiale alors qu’elle n’avait que 4 ans, elle a souhaité venir en aide aux enfants et jeunes marqués par un deuil similaire.

Aider les orphelins et rendre hommage à ceux qui risquent leur vie dans l’exercice de leur devoir

Chaque année, le Comité de la Fondation Geneviève Strudel, se réunit et attribue plusieurs dizaines de bourses à des orphelins de guerre, de policiers ou de pompiers morts en service, ainsi qu’à des militaires, policiers ou pompiers invalides de guerre ou victimes du devoir. Depuis la création de la fondation, plusieurs centaines de bourses ont pu être versées, perpétuant la générosité de sa fondatrice.

Promouvoir la langue occitane à travers des activités culturelles et éducatives nécessaires à sa sauvegarde

Faire vivre la mémoire de son fils disparu prématurément à travers la mise en œuvre d’une ambition humaniste ciblée sur deux thèmes liés à cette mémoire, c’est la démarche qui a conduit Jean-Loís Escafit en 2014 à créer, sous l’égide de la Fondation de France, la Fondation Gaietan Escafit. Portant prénom et nom occitans de son fils unique, décédé en 1994, cent jours avant de fêter ses 20 ans, des suites d’un accident de moto, la fondation perpétue son souvenir en apportant son soutien à des projets d’intérêt général en faveur de l'occitan et de la sécurité routière menés notamment sur la région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, qui recouvre l'essentiel des lieux où il vécut ou dont sont originaires ses familles paternelle et maternelle.

Pour sauvegarder, faire rayonner et valoriser la langue occitane dans la richesse de la diversité de ses parlers, la Fondation Gaietan Escafit contribue notamment à des activités culturelles et éducatives organisées par des organismes d'intérêt général, qui les mènent en respectant les droits universels individuels et collectifs des êtres humains.

Par ailleurs, la fondation agit, autant que possible conjointement, dans le champ de la prévention en matière de sécurité routière, en particulier auprès des jeunes. Dans ce domaine, elle accorde une importance prioritaire à la sensibilisation responsabilisante aux risques induits par la consommation d’alcool.

Rendre hommage à Gérard Frot-Coutaz en soutenant la jeune création cinématographique

En 1992, le cinéma français perdait un réalisateur et scénariste talentueux et prometteur, Gérard Frot-Coutaz, qui disparaissait à l’âge de 40 ans. Après des études à HEC Paris en 1974 où, passionné de cinéma il consacre son voyage d’étude à la diffusion du cinéma français aux USA ; Gérard Frot-Coutaz débute en tant que critique dans plusieurs revues, notamment auprès de la revue Cinéma. Il est assistant-réalisateur sur une douzaine de films, dont Barocco d'André Téchiné, Le Théâtre des Matières de Jean-Claude Biette, La Machine et Corps à Coeur de Paul Vechiali, Les Belles manières de Jean-Claude Guiguet et Simone Barbès ou la vertu de Marie-Claude Treilhou. Auteur de nombreux courts-métrages, il avait rencontré les faveurs de la critique et du public avec ses deux longs-métrages : Beau temps, mais orageux en fin de journée (1985), qui fut présenté au Festival de Cannes, et Après, après-demain (1989), s’inscrivant avec succès dans la mouvance française du réalisme psychologique.

Auteur de nombreux courts-métrages, il avait rencontré les faveurs de la critique et du public avec ses deux longs-métrages : Beau temps, mais orageux en fin de journée (1985), qui fut présenté au Festival de Cannes, et Après, après-demain (1989), s’inscrivant avec succès dans la mouvance française du réalisme psychologique.

Après son décès, le Festival Entrevues, qui honore à Belfort la jeune création contemporaine, a souhaité rendre hommage à ce réalisateur qui s’y était illustré, soit en tant que jury, soit pour défendre l’une de ses œuvres en compétition.

C’est ainsi que, de 1993 à 2004, a été décerné chaque année le Prix Gérard-Frot Coutaz à un jeune réalisateur français pour son premier long métrage.

En 2015, la Fondation Gérard Frot-Coutaz était créée sous l’égide de la Fondation de France suite au décès de la mère du réalisateur. En léguant ses biens à cette fondation, elle permettait ainsi de réactiver dans la durée ce prix, doté aujourd’hui de 5.000 €.