Les solitudes en France

En France, l’isolement relationnel ne cesse d’augmenter. C’est l’un des constats de la dernière édition de l’étude annuelle sur les solitudes en France de la Fondation de France, présentée le 22 janvier à la veille de la Journée mondiale des Solitudes.

À l’occasion de la Journée mondiale des Solitudes le 23 janvier 2024, la Fondation de France a présenté les résultats de sa nouvelle étude sur les solitudes en France.

L’étude Solitudes 2022 de la Fondation de France montre que si l’isolement a reculé en un an, le sentiment de solitude reste élevé, avec 11 millions de personnes touchées en France. Nouveauté de cette édition : l’étude explore les chemins d’entrée en solitude et les voies permettant d’en sortir.

En France, une personne sur quatre est isolée : c’est le principal enseignement de l’étude 2021 sur les solitudes réalisée par le Crédoc pour la Fondation de France.

La Fondation de France publie son 10e rapport annuel sur les solitudes. 7 millions de personnes se trouvent en situation d'isolement, soit 14 % des Français, contre 9 % en 2010. 

En France, sept millions de Français (soit 13% de la population) souffrent d’isolement. Un constat inquiétant, dévoilé par l’Observatoire de la philanthropie dans son étude Solitudes 2019, avec cette année un focus sur la mobilité.

En 2018, la Fondation de France a souhaité s’intéresser à la solitude des personnes déclarant un handicap ou une maladie chronique ou de longue durée.

Pour la septième édition de son rapport sur les solitudes, La Fondation de France a souhaité explorer le champ relativement méconnu de l’isolement des jeunes.

Quels sont les modes de socialisation des Français ? Comment a évolué le phénomène de solitude en France ? Ce sont quelques unes des questions auxquelles répond le rapport 2016 sur les solitudes en France.

De plus en plus d’hommes et de femmes sont touchés par l’aggravation de la pauvreté, le délitement du lien social et l’explosion du phénomène de solitude. C'est le constat de la Fondation de France sans sa cinquième étude sur les solitudes en France.