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Découvrez l’histoire de quelques généreux testateurs

25 juin 2021

Une maison pour l’enfance en difficulté

Un testateur a souhaité la création d’une fondation au nom de son épouse décédée, afin d’aider l’enfance en difficulté. La vente de sa maison, qu’il a décidé de léguer à la Fondation de France, permettait seule de créer une telle fondation.

Conclue après le décès du testateur, l’opération a permis de créer la Fondation Magdeleine Galliot, qui finance des projets destinés à l’enfance vulnérable. Au terme de plusieurs années, lorsque les fonds seront en grande partie utilisés, le reliquat sera  affecté au programme Enfance de la Fondation de France, conformément aux souhaits du testateur.

Une belle mobilisation en faveur des personnes âgées

Déterminé à améliorer le quotidien des personnes âgées, s’interrogeait sur la meilleure façon d’agir. Il s’est tourné vers la Fondation de France pour obtenir des conseils. Au terme de nombreux échanges, et au regard du patrimoine du couple, la création d’une fondation abritée est apparue comme la solution la plus adéquate.
C’est ainsi que la Fondation Julia a vu le jour, à Toulouse. Sous  égide  de la Fondation de France, elle apporte un précieux soutien aux maisons de retraite souhaitant développer leurs activités, ainsi qu’aux associations œuvrant auprès des personnes âgées.

Perpétuer une œuvre artistique exemplaire : un projet qui prend vie à travers une fondation personnelle

À la mort du célèbre  musicien, en 1955, son épouse décida de créer une fondation pour perpétuer sa mémoire. Elle entendait ainsi associer le nom de son époux à des travaux de compositeurs contemporains, en récompensant une ou l’ensemble de leurs œuvres.

Au fil des ans, la famille a souhaité faire évoluer les actions de la fondation, tout en restant fidèle à l’esprit initial. Elle s’est pour cela appuyée sur les conseils et les expertises de la Fondation de France, sous l’égide de laquelle elle s’est placée. Dirigée aujourd’hui par la fille du musicien, Pascale Honegger, la fondation récompense de jeunes compositeurs à la genèse de leur carrière.

Une action majeure en faveur de la recherche en ophtalmologie

Berthe Fouassier, passionnée de lecture, devint progressivement aveugle en raison d’une cataracte. Suite à une opération, elle recouvra la vue, pour son plus grand bonheur. Aspirant à léguer une partie de ses biens à ses proches, elle précisa dans son testament que le reliquat de sa fortune devait aller à la recherche scientifique, pour faire avancer les travaux touchant à la vue.

Connaissant l’expertise de la Fondation de France en matière de fondations sous égide, le filleul de Berthe Fouassier engagea les démarches nécessaires à la création d’une fondation au nom de sa marraine, dédiée à la recherche en ophtalmologie et en neuro-ophtalmologie.
Sur les conseils des experts de la Fondation de France, un comité scientifique a  été mis en place pour l’attribution de bourses de recherche.
Depuis 1984, la Fondation Berthe Fouassier a ainsi financé 86 travaux innovants dans le champ de l’ophtalmologie et de la neuro-ophtalmologie.

 Protéger l’environnement et les animaux : un souhait profond entièrement respecté

Veuve d’un industriel, Geneviève Buffard détenait une partie importante des actions de la société de son mari. Sensible à la cause des animaux, elle ne savait pas précisément vers quelle œuvre diriger sa générosité. Elle prit contact avec son notaire qui l’orienta vers la Fondation de France.

La Fondation de France a proposé de prendre en charge la gestion de ses actions, pour pérenniser son patrimoine et financer dans la durée une ou plusieurs causes environnementales. Convaincue, la testatrice a désigné la Fondation de France légataire universel, et lui a confié le soin de créer une fondation sous égide dédiée à la protection des animaux et à la sauvegarde de l’environnement.
C’est ainsi qu’est née la Fondation Édouard et Geneviève Buffard,  qui  soutient  notamment le programme Environnement de la Fondation de France, et cofinance l’École Nicolas Hulot pour la nature et l’homme située au sein du parc animalier et botanique de Branféré, dans le Morbihan.

Des volontés en dehors du champ philanthropique respectées avec le même soin

Après le décès de  son  épouse  en  2004,  le créateur de la marque de lingerie Lou nomme la Fondation de France légataire universel.

Une clause  spécifique  est  incluse  dans  son testament  : une  partie  de  son  héritage  doit être reversé à trois cents anciens salariés de Lou. Une liste de toutes ces personnes a été établie, mentionnant en face de chaque nom le montant à lui faire parvenir. Les exigences de l’intéressé ont été scrupuleusement respectées : chacune des personnes mentionnées dans le testament a reçu la somme qui lui était destinée.
Les montants restants, pour la plupart, ont ensuite été versés à l’ensemble des activités de la Fondation de France, le testateur n’ayant pas indiqué de préférence d’affectation.
 

Des biens immobiliers conservés pour aider durablement la recherche contre la maladie de Parkinson

Une dame, veuve et sans enfant, possédait de nombreux biens, dont un immeuble de famille. La Fondation de France a été désignée légataire universelle, avec l’obligation de conserver  l’immeuble et de créer une fondation sous égide de la Fondation de France, afin de financer la recherche  sur la maladie de Parkinson. La Fondation de France a pris en charge la rénovation de l’immeuble, grâce au patrimoine financier légué. Au terme de ces travaux, l’immeuble a été remis en location, avec un très bon rapport. Les loyers perçus sont aujourd’hui reversés à la Fondation Schutzman-Zisman.

Une demande particulière : la réalisation d’un monument funéraire au cimetière du Père-Lachaise

À la mort d’une dame sans enfant, propriétaire d’un patrimoine financier et immobilier important, son notaire apprend à la Fondation de France que celle-ci a été désignée légataire universelle. Une annexe peu explicite accompagne son testament : un monument "assez conséquent" doit être édifié en sa mémoire, sur sa tombe du Père-Lachaise.

L’équipe Legs de la Fondation de France ne savait guère dans quelle direction orienter les entreprises funéraires. C’est alors qu’une cousine de la défunte a révélé que celle-ci avait déjà rencontré un artiste funéraire pour réfléchir à la forme de sa sépulture. Le contact fut alors repris et un projet original a été conçu, en hommage au goût prononcé de la défunte pour la littérature : une sépulture en forme de livre.