L’éducation des filles : un facteur d’émancipation et un levier de développement
Investie de longue date aux côtés d’organisations agissant pour l’éducation dans le monde et marraine d’initiatives auxquelles elle prête sa notoriété, la journaliste Béatrice Schönberg a souhaité bâtir un projet philanthropique dans la durée. Elle s’est pour cela tournée en 2014 vers la Fondation de France afin de créer sous son égide la Fondation Béatrice Schönberg pour l’éducation des filles.
Son objectif : soutenir l’éducation des filles dans le monde, notamment au Maroc, pays qu’elle connaît bien et où elle a eu l’occasion de suivre l’action de plusieurs organisations locales.
Favoriser la scolarisation des filles dans les pays du Sud, c’est à la fois lutter contre un facteur important d’exclusion, et apporter une contribution essentielle pour l’avenir des familles, des communautés et pour le développement économique et social des pays.
Pour lever certains freins à l’éducation, et réduire les distances entre les jeunes filles et leur établissement scolaire, la Fondation soutient notamment le fonctionnement de maisons d’études proches des collèges et lycées, qui permettent aux jeunes filles issues du milieu rural d’être logées, nourries et accompagnées dans leur apprentissage.
C’est une manière concrète d’éviter que la scolarisation des jeunes filles soit interrompue après le niveau primaire en raison de la distance à parcourir, et de leur offrir les meilleures conditions d’éducation.